Retour à la table des matières Droits et libertés, automne 2024 / hiver 2025 Repenser les droits…
Retour à la table des matières Droits et libertés, automne 2024 / hiver 2025 Lutter contre l’ingérence…
Les municipalités sont appelées à jouer un rôle de plus en plus important dans l’élaboration de politiques, de programmes et d’initiatives pour relever les défis actuels et futurs, qui sont vastes et urgents, comme les enjeux environnementaux.
Ce palier gouvernemental peut assurer le respect, la protection et la mise en œuvre des droits humains et contribuer positivement à la transformation sociale.
Ce palier gouvernemental peut assurer le respect, la protection et la mise en œuvre des droits humains et contribuer positivement à la transformation sociale.
Une belle introduction à la philosophie de l’environnement écrite par la philosophe française Laurence Hanson-Løve a été récemment publiée chez Écosociété. L’idée écologique et la philosophie nous propose un parcours de l’histoire de la pensée écologique et, plus largement, du rapport de l’être humain à la nature, depuis l’Antiquité à nos jours.
À l’occasion du 30e anniversaire de la fondation de la Ligue des droits et libertés, section de Québec, la riche histoire des droits et libertés dans la Ville de Québec vous est présentée. C’est une façon de rendre hommage à toutes celles et tous ceux qui se sont engagé-e-s activement dans les luttes.
Dans une lettre transmise le 10 décembre 2024, la Coalition du Québec URGENCE Palestine réitère ses demandes de désinvestissement à la Caisse de dépôt et placement du Québec. Elle a renouvelé aussi sa demande de rencontre avec les membres du conseil d’administration de la Caisse
Apprenez-en plus sur le contenu et les risques pour les droits humains du projet de loi 82 sur l’identité numérique nationale déposé par le ministre Eric Caire le 21 novembre 2024.
Retour à la table des matières Droits et libertés, automne 2024 / hiver 2025 Agir pour le…
Nouveau numéro maintenant disponible! La Ligue des droits et libertés consacre son nouveau numéro de Droits et…
Après des études et une décision majeure des tribunaux, de nombreuses organisations pressent la Ville de Montréal d’agir et d’interdire la pratique d’interpellation policière, source de profilages racial et social systémiques.
On the occasion of International Human Rights Day, the LDL reminds the Quebec government of the importance of the Universal Declaration of Human Rights and its obligations under international law to respect and strengthen Quebec’s human rights protection regime.
À l’occasion de la Journée internationale des droits de l’homme, la Ligue des droits et libertés rappelle au gouvernement québécois l’importance de la Déclaration universelle des droits de l’homme et ses obligations, découlant du droit international, de respecter et renforcer le régime québécois de protection des droits humains.
Le gouvernement du Québec doit agir au plus vite pour le respect et la protection des droits, et non faire obstacle à l’élimination d’une pratique policière qui est une source démontrée de profilage racial systémique.
La LDL invite à la plus grande prudence devant des recommandations destinées à accroître le pouvoir du parlement du Québec de déroger à ces droits et à octroyer aux parlementaires « le loisir de proposer un nouvel équilibre des droits et libertés ». La Charte des droits et libertés de la personne du Québec doit assurer un socle stable de droits et libertés qui soient reconnus et protégés, et ne doit pas être soumise aux aléas des soi-disant valeurs de la majorité.
En réponse aux violations de droits humains en prison, les discours officiels promettent des lieux plus inclusifs et sécuritaires. Qu’en est-il de l’efficacité réelle de ces mesures et à leurs conséquences sur les populations marginalisées? Cette nouvelle carcéralité ne serait-elle que de la poudre aux yeux?
Cette entrevue avec Cyndy Wylde jette un éclairage sur les failles du système carcéral, sur les initiatives pour s’attaquer au problème de la surincarcération des Autochtones et des Inuit et sur la nécessité de changer le système de justice.
En tant que membre fondateur de la Cour pénale internationale, le Canada doit s’engager à honorer les mandats d’arrêt contre Benjamin Netanyahou et Yoav Gallant. Le Canada doit aussi s’engager à « ne pas prêter aide ou assistance à des activités d’implantation illégales » en Palestine.
Le vrai scandale, ce ne sont pas les propos d’Haroun Bouazzi, mais les tentatives, au Québec comme dans beaucoup d’autres sociétés occidentales, de faire des immigrants les boucs émissaires des maux sociaux causés par près de 40 ans de saccage néolibéral.
La LDL publie un outil d’éducation aux droits qui recadre les notions de droits collectifs, de laïcité de l’État, de souveraineté parlementaire et de dérogations aux chartes des droits. Ce recadrage appose une lunette de droits humains sur ces notions et sur les rhétoriques qui occupent l’espace public, politique et médiatique particulièrement dans le cadre des débats sur la laïcité de l’État, la protection de la langue française, et les enjeux constitutionnels.
Cette publication recadre les notions de droits collectifs, de laïcité de l’État, de souveraineté parlementaire et de dérogations aux chartes des droits. Ce recadrage appose une lunette de droits humains sur ces notions et sur les rhétoriques qui occupent l’espace public, politique et médiatique particulièrement dans le cadre des débats sur la laïcité de l’État, la protection de la langue française, et les enjeux constitutionnels.
Cinq organisations de la société civile québécoise demandent pour une deuxième fois une rencontre avec le premier ministre François Legault et la ministre Martine Biron. Dans le contexte des actes génocidaires commis par Israël envers le peuple palestinien, le Québec doit se conformer à ses obligations en vertu du droit international en fermant son bureau à Tel-Aviv et en suspendant tous ses liens de coopération avec Israël. Le Québec doit joindre sa voix aux autres nations à travers le monde qui ont adopté des positions claires en faveur de la justice et du respect immédiat des droits du peuple palestinien à la vie, à la sécurité et à la liberté.
Les décès récents dans les prisons provinciales du Québec révèlent une crise profonde et persistante. Cet article explore les enjeux entourant ces tragédies, mettant en lumière l’opacité du système carcéral et l’urgence d’interroger les conditions de détention et l’accès aux soins de santé.
La visite de Me Francesca Albanese, Rapporteuse spéciale des Nations unies a permis de rappeler au Canada et au Québec leurs obligations en matière de droit international. Le Canada et le Québec doivent cesser toute forme de soutien, d’assistance et de coopération avec les crimes commis par Israël contre le peuple palestinien.
La Rapporteuse spéciale de l’ONU, Francesca Albanese, dénonce le génocide colonial en cours en Palestine et intime les États, dont le Canada, à respecter leurs obligations en vertu du droit international.
La question de l’enfermement en centre jeunesse est abordée à travers les témoignages de jeunes du Collectif Ex-Placé DPJ sur les conditions de placement dignes d’une prison.
Les conditions de remise en liberté imposées aux activistes sont abusives et briment leurs libertés d’expression, de réunion pacifique et d’association. La gravité des conditions de détentions imposée aux activistes du pont Jacques-Cartier n’a malheureusement rien d’exceptionnel. La LDL rappelle que les prisons du Québec sont des lieux de violations de droits des personnes incarcérées et que la pénurie de personnel ne peut aucunement être invoquée pour les justifier.
La Ligue des droits et libertés rappelle aux membres du conseil d’administration de l’Agence Santé Québec leurs obligations en matière du droit à la santé.
La Ligue des droits et libertés (LDL) salue le jugement de la Cour d’appel qui confirme le jugement Luamba de première instance relatif aux interceptions routières sans motif, une pratique qui est une source de profilage racial.
Certaines actions, bien qu’illégales, peuvent s’avérer légitimes et nécessaires pour éveiller les consciences et faire bouger les dirigeant-e-s.
La CSILC réitère son appel à l’abolition de la liste des entités terroristes du Canada suite à l’ajout du Réseau de solidarité avec les prisonniers palestiniens Samidoun par le gouvernement canadien le 15 octobre 2024.
Le projet de loi 71, qui réforme le programme d’aide sociale, propose une nouvelle approche, celle de la médicalisation des prestataires. Les besoins des prestataires, qui sont variés et qui requièrent des mesures sociales et économiques, sont réduits à une contrainte de santé. Inquiétant!
Le Code criminel codifie la plupart des actes criminels, souvent au détriment des personnes les plus précaires et marginalisées, et au profit des élites. À travers les mesures législatives dont il dispose, l’État renforce ces disparités sociales, en entretenant le système carcéral actuel.
La Ligue des droits et libertés vous propose d’assister à une conférence publique le 5 novembre 2024 pour discuter des amalgames erronés qui sont véhiculés sur les personnes migrantes et la crise du logement et surtout, pour présenter les faits pour les contrer.
Depuis octobre 2023, Israël s’est lancé dans une offensive génocidaire contre le peuple palestinien dans la bande de Gaza et a intensifié ses exactions en Cisjordanie. La dernière année révèle tragiquement l’anatomie du génocide qui se déploie devant nous, mettant en lumière la complicité occidentale et le fil des intérêts impérialistes qui la tissent.
À l’occasion de plusieurs anniversaires importants, la LDL interpelle les gouvernements du Québec et du Canada afin de leur rappeler leurs obligations en matière de droits humains de toutes les personnes autochtones.
En cette Journée internationale du droit à l’information, nos organisations proposent un coup de gueule collectif pour dénoncer l’opacité des organismes publics qui prédomine dans plusieurs secteurs.
D’où provient le blocage au sein de l’appareil municipal de la Ville de Montréal? Du bureau de la mairesse? Du SPVM? De la Direction générale adjointe à la sécurité urbaine et à la conformité?
Participez à une soirée d’accueil pour les nouveaux et nouvelles membres et toute personne intéressée à le devenir. Vous êtes nombreux et nombreuses à être devenu-es membres de la LDL au cours de la dernière année et nous avons hâte de vous rencontrer et d’échanger avec vous.
Le Protecteur du citoyen, organisme public censé représenter les personnes incarcérées au Québec et leurs droits, fait preuve d’un réel manque de transparence et d’une non-collaboration avec le secteur communautaire, nécessitant un changement de leurs pratiques, afin de mieux protéger les individus.
Le ministre de la Justice a le pouvoir et la responsabilité de mettre en place un comité indépendant pour réexaminer l’entièreté de la preuve suite à la décision du DPCP, en 2019, de ne pas porter d’accusations contre les policiers impliqués dans le décès de Koray Kevin Celik en 2017.
À la lumière des constats du rapport d’activités 2023-2024 du Protecteur du citoyen, la LDL souligne l’importance pour le gouvernement du Québec de se saisir du cadre de référence des droits humains et de comprendre les obligations qui lui incombent.
Contribuez à la réalisation des droits humains au sein de la société en postulant au poste de responsable de dossiers politiques à la LDL.
À l’Institut Pinel, et dans d’autres établissements psychiatriques au Québec, des pratiques autoritaires et déshumanisantes sont encore utilisées dans de trop nombreux cas. Ces méthodes, qui rappellent les anciens asiles, révèlent la nécessité d’une réforme, pour une approche humaine et respectueuse des droits des personnes.
La Ligue des droits et libertés salue ce jugement déterminant dans la lutte au profilage racial à Montréal. Pour le respect des droits humains, c’est maintenant à la Ville de Montréal d’agir en interdisant les interpellations policières, une bonne fois pour toute!
Dans le contexte du virage numérique, de la dématérialisation des services gouvernementaux et de l’implantation de l’intelligence artificielle, plusieurs enjeux de droits humains font surface. Il importe d’agir dans la perspective d’éliminer les obstacles existants et en ce sens, le virage numérique ne doit pas créer ou accentuer des obstacles pour les personnes qui transigent avec l’État.
Confrontées à des obstacles majeurs pour maintenir les liens avec leur proche incarcéré-e, les familles doivent lutter pour être reconnues et faire valoir leurs droits. Leurs vécus et leurs expériences révèlent les lacunes et les injustices d’un système carcéral indifférent à leurs souffrances.
Plus de 83 millions de dollars de cartouches de mortier explosives produites par une entreprise opérant au Québec, General Dynamics Ordnance and Tactical Systems Inc, seraient achetées par les États-Unis et intégrées au programme d’armement américain destiné à Israël. La Ligue des droits et libertés et la Fédération internationale des droits humains intiment le gouvernement du Canada à bloquer cette transaction ainsi qu’à prendre toutes les mesures nécessaires pour mettre fin aux interventions militaires de l’État d’Israël dans la bande de Gaza.
S’il y a eu des avancées notables pour les droits des personnes trans et non binaires au Québec et au Canada, des reculs importants se font maintenant sentir tout comme des démonstrations de haine. Dans cette série de trois carnets, nous aborderons les enjeux entourant les droits des personnes trans et non binaires.
S’il y a eu des avancées notables pour les droits des personnes trans et non binaires au Québec et au Canada, des reculs importants se font maintenant sentir tout comme des démonstrations de haine. Dans cette série de trois carnets, nous aborderons les enjeux entourant les droits des personnes trans et non binaires.
S’il y a eu des avancées notables pour les droits des personnes trans et non binaires au Québec et au Canada, des reculs importants se font maintenant sentir tout comme des démonstrations de haine. Dans cette série de trois carnets, nous aborderons les enjeux entourant les droits des personnes trans et non binaires.
La surjudiciarisation pénale des personnes qui souffrent de troubles de santé mentale — le phénomène ou le syndrome des portes tournantes — est un problème systémique qui perdure et dont la principale cause est le manque de soins accessibles aux personnes en difficulté.
Sous toutes ses formes, l’isolement cellulaire est une pratique qui porte atteintes aux droits des personnes incarcérées, malgré les tentatives d’encadrement par les services correctionnels au Québec et au Canada. Cet article explique ce qu’est l’isolement cellulaire et pourquoi il est nécessaire d’y mettre fin.
Les délais du regroupement familial au Québec : Pourquoi sont-ils préjudiciables aux droits humains?
De juin 2024 à juin 2026, le ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration ne traitera qu’un maximum de 13 000 nouvelles demandes de regroupement familial, alors qu’un retard important s’accumule depuis 2022. Il est nécessaire de reconsidérer cette décision car les impacts sont multiples pour un grand nombre d’enfants et leurs parents.
Au Canada et au Québec, les politiques et les pratiques carcérales à l’endroit des femmes sont dépendantes du chemin parcouru et s’inscrivent, de manière pérenne, dans une trajectoire dominante et verrouillée, qu’il est nécessaire de remettre en question, de transformer et même d’abolir.
Toula Drimonis, l’autrice de l’ouvrage, « Nous, les autres », présente son point de vue comme immigrante de seconde génération sur les enjeux actuels d’accueil et d’intégration des personnes immigrant au Québec Les politiques de la Coalition avenir Québec qui s’inscrivent dans le courant du nationalisme identitaire sont aussi abordées.
Le cas de la Fonderie Horne nous démontre les enjeux que vivent les citoyens et citoyennes de Rouyn-Noranda en termes de d’accès à l’information, de participation du public aux processus décisionnels et d’accès à la justice. Ces éléments de procédure forment les trois piliers démocratiques à défendre pour exercer le droit à un environnement sain.
Il importe que la population québécoise soit alertée de l’amalgame erroné entre la crise du logement et les personnes migrantes qui est mis de l’avant dans diverses interventions de certaines personnalités publiques, d’élu-e-s, et même du premier ministre François Legault.
Comme les médecins ne sont pas des employés de l’État, ce dernier ne dispose que de très peu de pouvoir de direction à leur égard. Dans les dernières semaines, le ministre de la Santé et des Services sociaux est entré dans un bras de fer avec les fédérations représentant les médecins spécialistes et les médecins omnipraticiens. Il est parvenu à un accord de principe avec les omnipraticiens le 13 juin. Le ministre cherchait notamment à imposer des activités médicales particulières aux spécialistes, ainsi que la prise en charge de patients orphelins aux omnipraticiens.
Les deux revendications du mouvement sont la fermeture du bureau du Québec à Tel-Aviv et le désinvestissement par la CDPQ de 14 milliards $ dans 87 entreprises identifiées comme étant impliquées dans des violations des droits humains en Palestine.
Le régime fédéral de protection de renseignements personnels dans le secteur privé doit être modernisé, ce qu’Ottawa propose de faire avec le projet de loi C-27. Cet article propose un survol des reproches formulés, de failles pour les droits humains et des mises en garde à l’égard de C-27.
Entre avril et juin 2024, la Ligue des droits et libertés, le Mouvement d’éducation populaire et d’action communautaire du Québec (MÉPACQ) et le Regroupement des organismes en défense collective des droits (RODCD) ont mené une campagne de mobilisation pour demander le retrait du Chapitre 1 au projet de loi 57.
L’incarcération produit et reproduit des violations de droits, de la violence, de la détresse et des discriminations que les réformes du système carcéral ne peuvent pas enrayer. Les logiques carcérales nous apparaissent avec leurs nœuds, leurs failles en matière de réparation envers les victimes, de réinsertion sociale, de dissuasion et de la diminution de la violence. Dans bien des cas, le recours à l’enfermement est une réponse punitive et restrictive de liberté à des enjeux sociaux, résultat d’un désengagement de l’État quant à ses obligations en matière de droits économiques et sociaux.
2023 marquait les 75 ans de la Nakba, les 75 ans de l’adoption de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide et de la Déclaration universelle des droits de l’homme. 2023 marquait le début d’un génocide en Palestine ; un test pour notre humanité.
Le langage des droits humains rappelle qu’investir en éducation, en santé et dans le logement n’est pas uniquement un choix politique, mais contribue aussi à ce que les États respectent les obligations auxquelles ils se sont engagés.
Nous avons discuté avec Marlihan Lopez, co-fondatrice de Harambec et militante féministe Noire, afin de connaître son point de vue quant à l’abolitionnisme pénal. Son approche invite à la remise en question de systèmes carcéraux au sens large, que ce soit la prison, l’école, les hôpitaux ou les centres jeunesses.
Au début des années 2000, le programme de justice alternative Sken:nen A’Onsonton est créé à Kahnawà:ke à la suite de consultations et de recherches menées par des membres de la communauté sur les méthodes et philosophies Haudenosaunee pour aborder les conflits. Les victimes sont au cœur de ce programme qui invite les gens à se rassembler, à prendre responsabilité pour leurs actes et à prendre des décisions ensemble pour trouver des solutions aux conflits. Sken:nen A’Onsonton est un exemple de l’exercice du droit à l’autodétermination en matière de justice en action.
Les personnes ayant une déficience intellectuelle font face à une société capacitiste, ne leur laissant peu de choix pour se trouver une place. Le système judiciaire et carcéral actuel rend encore plus vulnérables ces personnes, et un développement des services sociaux est plus que nécessaire pour amener à une véritable inclusion.
Le portrait de la population carcérale présenté ici a été réalisé à partir des données rendues disponibles par les services correctionnels du Québec et du Canada. Cet exercice comporte évidemment une part d’arbitraire : il est limité tant par la disponibilité des données que par le choix des indicateurs compilés par les autorités carcérales. De plus, bien que nous ayons choisi de présenter ici des données sur la population des prisons et pénitenciers, cela ne reflète pas un portrait de l’ensemble de la population soumise à d’autres formes de détention abordées dans ce dossier. Il s’agit donc, au mieux, d’un certain arrêt sur image, situé dans l’espace et le temps.
Un appel à célébrer les cultures et l’histoire des peuples autochtones, non seulement durant le mois national de l’histoire autochtone, mais aussi toute l’année.
Nous, organisations de la société civile québécoise, demandons au gouvernement du Québec d’annuler l’ouverture d’un bureau à Tel-Aviv et de suspendre ses liens de coopération avec Israël.
Malgré les amendements apportés, le PL57, adopté le 5 juin 2024 par le gouvernement du Québec, présente des risques sérieux d’atteinte aux droits et libertés des citoyen-ne-s et des organisations de la société civile. Une veille sera effectuée pour documenter les conséquences négatives de cette nouvelle loi sur la capacité des citoyen-ne-s de participer activement aux débats démocratiques au Québec.
AVIS AUX MEDIAS Pour diffusion immédiate Conférence de presse de la Coalition URGENCE Palestine Manifestation de solidarité…
APPEL À LA MOBILISATION COALITION DU QUÉBEC URGENCE PALESTINE Grande manifestation à Montréal Samedi 8 juin à…
Dix recommandations concernant la détention des personnes migrantes pour de motifs administratifs sont soumises au Groupe de travail des Nations unies sur la détention arbitraire en visite au Canada en mai 2024.
Ce rapport d’activités 2023-2024 fait état des multiples actions menées par la Ligue des droits et libertés pour la défense collective des droits humains.
Au terme de sa visite au Canada en mai 2024, la LDL soumet un mémoire et dix recommandations au Groupe de travail des Nations unies sur la détention arbitraire sur la situation au pays en matière de la détention administrative des demandeurs d’asile et des personnes migrantes.
La LDL demande à la mairesse et au directeur du SPVM de condamner publiquement et urgemment ces propos ainsi que de garantir que le SPVM cessera toute atteinte à la sécurité et à l’intégrité physique des manifestant-e-s ainsi qu’à la liberté d’expression et au droit de manifester à Montréal.
Des perspectives critiques sont rassemblées pour présenter plusieurs facettes de l’incarcération à travers une vingtaine d’articles. Page après page, le fil des logiques carcérales se déroule et révèlent leurs noeuds et leurs failles en matière de réparation envers les victimes, de réinsertion sociale, de dissuasion et de la diminution de la violence. L’incarcération produit et reproduit des violations de droits, de la détresse et des discriminations que les réformes du système carcéral ne peuvent pas enrayer.
Enjeux de droits humains entourant la détention des personnes migrantes pour des motifs administratifs au Canada Mémoire…
La LDL déplore que six ans après l’engagement de la Ville de Montréal à réviser ses règlements municipaux, cette démarche stagne complètement.
À ce stade-ci, la seule action responsable que la ministre Laforest peut et doit entreprendre pour respecter réellement les droits et libertés de la population est de retirer le chapitre I du PL57. Ensuite, il s’agira de se pencher en profondeur sur l’enjeu fort important du harcèlement vécu par les élus.
Le rejet par la Cour supérieure de la demande d’injonction intentée par l’Université McGill évite la répression de ce moyen d’action légitime des étudiant-e-s et assure le respect de la liberté d’expression et du droit de manifester reconnus par les Chartes canadienne et québécoise.
Face aux crises environnementales, les trois piliers démocratiques à défendre et à prioriser sont l’accès à l’information, la participation des populations aux prises de décisions et l’accès à la justice.
Nous vous invitons à participer en grand nombre à l’Assemblée générale annuelle (AGA) de la Ligue des…
Face aux enjeux actuels comme l’urgence climatique et la montée de l’intolérance, les auteurs réfèrent à l’importance de l’éducation populaire de conscientisation afin de mobiliser les jeunes et les adultes dans un projet de transformation sociale.
Plus de 134 organisations demandent à ce que le Chapitre I du projet de loi 57 soit retiré. Le PL 57 n’apporte pas de solutions nouvelles à la problématique de harcèlement, menaces et intimidation envers les élu-e-s car il existe déjà des recours (injonctions et infractions criminelles) dans le cadre législatif actuel. Il est à craindre une application arbitraire et abusive de la nouvelle loi proposée, particulièrement à l’égard des actions politiques et mobilisations citoyennes légitimes et essentielles pour défendre la justice sociale et les droits humains.
La LDL rappelle aux forces policières et aux dirigeants de l’Université McGill que toutes les mesures doivent être prises pour assurer la sécurité des manifestant-e-s, de même que pour respecter et protéger le droit de manifester.
La Ligue des droits et libertés (LDL) reconnaît l’importance d’agir sur les situations de harcèlement, d’intimidation et de menaces vécues par des élu-e-s au Québec qui sont le fait de citoyen-ne-s et d’élu-e-s. Le PL 57 ne prend toutefois pas en compte les libertés d’expression et d’association protégées par les Chartes, mettant ainsi un fardeau sur les citoyen-ne-s pour contester la loi plutôt que de garantir ces droits dès le départ.
La Ligue des droits et libertés (LDL) reconnaît l’importance d’agir sur les situations de harcèlement, d’intimidation et de menaces vécues par des élu-e-s au Québec qui sont le fait de citoyen-ne-s et d’élu-e-s. Toutefois, étant donné que le projet de loi omnibus no 57 (PL 57) n’est pas une réponse adéquate à cette problématique et qu’il présente des risques sérieux d’atteintes aux libertés d’expression, d’opinion et d’association, la LDL recommande de retirer l’intégralité du chapitre I du projet de loi et de de pas adopter la Loi visant à protéger les élus et à favoriser l’exercice sans entraves de leurs fonctions.
À l’occasion de la publication d’une brochure « Le droit à un environnement sain : Trois piliers démocratiques à défendre », assistez à un midi-conférence le 15 mai 2024 en compagnie de trois panélistes impliqués de près dans les enjeux environnementaux.
Exposition itinérante – autoportante Pour profiter de cette exposition historique sur les luttes pour les droits humains…
En tant qu’organisation proche du Centre justice et foi (CJF), connaissant la rigueur de son travail et de ses engagements, ainsi que l’importance de ses contributions, la Ligue des droits et libertés tient à manifester sa préoccupation face à la situation que traverse présentement le CJF.
La précarité des travailleuses en soutien à domicile payées par le programme chèque emploi-service met en péril les soins à domicile des personnes en situation de handicap physique ou intellectuel.
Les obligations procédurales de l’exercice du droit à un environnement sain sont une condition essentielle pour la prise en compte des principes de justice environnementale, de non-régression et d’équité intergénérationnelle dans l’administration de la Loi et du principe de précaution auquel aspire d’emblée la Loi canadienne pour la protection de l’environnement.
La Ligue des droits et libertés rappelle que la Loi sur la laïcité de l’État, adoptée sous bâillon sans l’unanimité de l’Assemblée nationale en 2019, déroge également à la Charte des droits et libertés de la personne du Québec. En insistant sur la dérogation à la Charte canadienne, le gouvernement du Québec évite d’aborder la question de fond, à savoir qu’une loi discriminatoire déroge de façon disproportionnée et non justifiée aux droits et libertés.
La LDL exhorte le gouvernement du Québec à ne pas reconduire la clause de dérogation et à jouer le rôle d’un État démocratique de premier plan qui respecte les droits et libertés de sa population.
Une série de projections de documentaires sur les droits humains suivies de discussions entre le 5 mars et le 28 mai 2024. En partenariat avec l’Office national du film du Canada (ONF)
Les enjeux liés à l’éducation concernent autant le gouvernement et les institutions scolaires que la société civile comme en témoigne l’organisme Debout pour l’école à la suite des forums Parlons éducation qui se sont tenus au printemps 2023.
Adoptée au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la Déclaration universelle des droits de l’homme est le fruit d’un travail collectif et non pas celui d’une seule femme ou seul homme extraordinaire. Pour la première fois, un document, innovateur et universel, énonce une liste de droits humains inaliénables.
La participation de proximité des parents est une façon de faire respecter les droits de l’enfant comme le droit à l’éducation. Pour ce faire, des parents se mobilisent pour s’informer sur la vie démocratique de l’école et s’investir davantage dans les milieux scolaires.