On the occasion of International Human Rights Day, the LDL reminds the Quebec government of the importance of the Universal Declaration of Human Rights and its obligations under international law to respect and strengthen Quebec’s human rights protection regime.
À l’occasion de la Journée internationale des droits de l’homme, la Ligue des droits et libertés rappelle au gouvernement québécois l’importance de la Déclaration universelle des droits de l’homme et ses obligations, découlant du droit international, de respecter et renforcer le régime québécois de protection des droits humains.
Le vrai scandale, ce ne sont pas les propos d’Haroun Bouazzi, mais les tentatives, au Québec comme dans beaucoup d’autres sociétés occidentales, de faire des immigrants les boucs émissaires des maux sociaux causés par près de 40 ans de saccage néolibéral.
Cinq organisations de la société civile québécoise demandent pour une deuxième fois une rencontre avec le premier ministre François Legault et la ministre Martine Biron. Dans le contexte des actes génocidaires commis par Israël envers le peuple palestinien, le Québec doit se conformer à ses obligations en vertu du droit international en fermant son bureau à Tel-Aviv et en suspendant tous ses liens de coopération avec Israël. Le Québec doit joindre sa voix aux autres nations à travers le monde qui ont adopté des positions claires en faveur de la justice et du respect immédiat des droits du peuple palestinien à la vie, à la sécurité et à la liberté.
Depuis octobre 2023, Israël s’est lancé dans une offensive génocidaire contre le peuple palestinien dans la bande de Gaza et a intensifié ses exactions en Cisjordanie. La dernière année révèle tragiquement l’anatomie du génocide qui se déploie devant nous, mettant en lumière la complicité occidentale et le fil des intérêts impérialistes qui la tissent.
En cette Journée internationale du droit à l’information, nos organisations proposent un coup de gueule collectif pour dénoncer l’opacité des organismes publics qui prédomine dans plusieurs secteurs.
D’où provient le blocage au sein de l’appareil municipal de la Ville de Montréal? Du bureau de la mairesse? Du SPVM? De la Direction générale adjointe à la sécurité urbaine et à la conformité?
Plus de 83 millions de dollars de cartouches de mortier explosives produites par une entreprise opérant au Québec, General Dynamics Ordnance and Tactical Systems Inc, seraient achetées par les États-Unis et intégrées au programme d’armement américain destiné à Israël. La Ligue des droits et libertés et la Fédération internationale des droits humains intiment le gouvernement du Canada à bloquer cette transaction ainsi qu’à prendre toutes les mesures nécessaires pour mettre fin aux interventions militaires de l’État d’Israël dans la bande de Gaza.
Comme les médecins ne sont pas des employés de l’État, ce dernier ne dispose que de très peu de pouvoir de direction à leur égard. Dans les dernières semaines, le ministre de la Santé et des Services sociaux est entré dans un bras de fer avec les fédérations représentant les médecins spécialistes et les médecins omnipraticiens. Il est parvenu à un accord de principe avec les omnipraticiens le 13 juin. Le ministre cherchait notamment à imposer des activités médicales particulières aux spécialistes, ainsi que la prise en charge de patients orphelins aux omnipraticiens.
Nous, organisations de la société civile québécoise, demandons au gouvernement du Québec d’annuler l’ouverture d’un bureau à Tel-Aviv et de suspendre ses liens de coopération avec Israël.
Au terme de sa visite au Canada en mai 2024, la LDL soumet un mémoire et dix recommandations au Groupe de travail des Nations unies sur la détention arbitraire sur la situation au pays en matière de la détention administrative des demandeurs d’asile et des personnes migrantes.
À ce stade-ci, la seule action responsable que la ministre Laforest peut et doit entreprendre pour respecter réellement les droits et libertés de la population est de retirer le chapitre I du PL57. Ensuite, il s’agira de se pencher en profondeur sur l’enjeu fort important du harcèlement vécu par les élus.
Des organisations de la société civile dénoncent la tentative du ministre Jean-François Roberge de museler les voix qui critiquent la Loi sur la laïcité de l’État (Loi 21) et le renouvellement de la clause de dérogation à la Charte canadienne des droits et libertés.
Dans le contexte de la nouvelle agence Santé Québec, le Québec a besoin d’un mécanisme permettant d’évaluer dans toutes ses dimensions la mise en oeuvre du droit à la santé.
235 organisations de la société civile québécoise et 156 personnalités publiques dénoncent la complicité du Canada et revendiquent un cessez-le-feu immédiat dans la bande de Gaza, la libre circulation de l’aide humanitaire, la fin des exportations militaires vers Israël et la levée du siège de Gaza.
23 organisations de la société civile québécoise demandent au gouvernement du Québec d’annuler l’ouverture d’un bureau à Tel-Aviv et de suspendre ses liens de coopération avec Israël. La décision du Québec d’ouvrir un bureau à Tel-Aviv va à l’encontre de la responsabilité des États à prévenir le crime de génocide et à œuvrer pour la défense du droit international des droits humains.
Actes génocidaires perpétrés contre le peuple palestinien dans la bande Gaza – Obligations du Canada
La Ligue des droits et libertés et la Fédération internationale des droits humains intiment à nouveau le gouvernement du Canada à prendre toutes les actions nécessaires afin de mettre fin de façon immédiate et permanente aux interventions militaires de l’État d’Israël dans la bande de Gaza. Le Canada doit faire cesser immédiatement le génocide du peuple palestinien commis par Israël et qui se déroule en toute impunité devant les yeux de la population canadienne et du monde entier.
Ce 75e anniversaire de la DUDH nous permet de saisir ce qui a été accompli et ce qui reste à faire. Car les droits humains, s’ils ne sont pas fermement défendus, risquent d’être réduits à néant.
Devant les violences extrêmes en cours à Gaza, la Ligue des droits et libertés et la Fédération internationale pour les droits humains exhortent le gouvernement canadien à prendre pleinement et publiquement ses responsabilités en matière de droits humains. Il doit mettre en place de façon urgente des mesures qui sont en cohérence avec le respect et la promotion du droit international humanitaire et du droit international des droits humains.
Dans cette lettre signée par 36 organisations de la société civile, une demande est formulée au ministre Bonnardel pour qu’il prenne en considération deux éléments fondamentaux dans l’élaboration de la ligne directrice sur les interpellations policières.
Le projet de Service québécois d’identifiant numérique (SQIN) se développe actuellement sans débat, et qu’à plusieurs égards, il ne respecte pas les exigences de la résolution : éventuelle utilisation de la biométrie, manque de transparence, absence d’encadrement légal précis.
Si, de façon globale, le Québec a énormément de travail à faire pour aborder les fondements coloniaux de ses relations avec les peuples autochtones et les impacts de siècles de dépossession, de racisme et de politiques paternalistes, l’approche et les positions du gouvernement Legault durant ces cinq dernières années se caractérisent par un recul dans ce processus déjà chargé et complexe.
The CAQ government’s approach and positions have marked a significant step back in what is already a complex process of relationship-building.
Les dénis du droit à l’information entraînent des conséquences sur d’autres droits humains, en entravant les mouvements sociaux qui travaillent d’arrache-pied à analyser, sensibiliser, mobiliser et porter des revendications pour une société plus juste.
Les crises servent un gouvernement qui aime imposer ses solutions comme en matière de santé, souvent privées, au nom de l’urgence.
Dans la lutte contre le profilage racial et social au Québec, il est impératif d’interdire les interpellations policières. C’est la seule façon de mettre fin aux violations des droits et libertés que vivent les communautés et personnes racisées et autochtones surinterpellées par la police.
La pratique mixte et les assurances duplicatives participent en catimini à la privatisation du réseau de la santé, sans aucun débat démocratique sur ce phénomène lourd de conséquences.
La privatisation en santé s’accélère au Québec, d’où l’importance d’en débattre largement.
De manière générale, la population ne dispose pas d’une reconnaissance explicite de sa capacité à identifier différentes problématiques ayant une incidence sur la santé.
Un total de 55 organisations appuient cette lettre qui dénonce l’empressement du gouvernement à faire adopter cette réforme majeure sur la santé.
Le PL 14 est une occasion manquée de mettre en oeuvre des revendications de longue date pour véritablement renforcer ce mécanisme de plaintes qui devrait répondre aux besoins des citoyens avant tout.
L’accès à l’information environnementale est primordial afin de permettre à la population d’assurer le respect de son droit à un environnement sain.
Les prisons sont fondamentalement des lieux de violations des droits.
À quand un véritable leadership de la part de la Ville de Montréal dans la lutte contre les profilages racial et social ?
La Coalition Main Rouge dénonce la privatisation en santé qui continue d’avoir lieu, dans la foulée de l’austérité, et qui met en péril le droit à la santé.
En cette Journée internationale pour les droits de la personne, la Ligue des droits et libertés souligne que les États ne devraient pas sembler se prémunir contre les droits humains, mais veiller activement à leur protection, leur promotion et leur mise en œuvre.
Les organisations signataires, avec joie et beaucoup d’espoir, ont appris qu’un programme de régularisation massive des personnes sans statut migratoire est en élaboration.
Il est essentiel que les corps policiers et les ordres de gouvernement en respectent l’exercice plein et entier.
Le processus d’appauvrissement en cours témoigne d’une véritable régression dans le niveau de réalisation des droits économiques et sociaux qui devraient abordés de façon transpartisane.
Le projet de loi C-26 suscite d’importantes préoccupations liées à l’imputabilité, aux procédures judiciaires, à la protection de la vie privée et aux droits numériques.
À quelques jours d’une grande manifestation nationale sous le thème « Engagez-vous pour le filet social », les groupes en défense de droits s’inquiètent du manque de soutien à leur mission, pourtant essentielle à toute société démocratique.
La population mérite un système 100% public et cela demande de résoudre la pénurie de personnel soignant, en particulier le personnel infirmier, en investissant dans le secteur public d’abord et non dans le privé.
Les droits civils, politiques, économiques, sociaux et culturels sont malmenés, et ce, de manière accentuée depuis quelques années.
Essentiels, les organismes ont été fragilisés par la pandémie, un financement inadéquat et la crise de la main-d’oeuvre.
Profilage et répression ont assez duré, les partis doivent s’engager en faveur des droits civils et sociaux.
Le ministre de la Justice du Québec et son gouvernement semblent ignorer le rôle d’une charte des droits dans une société démocratique, ce qui est plus qu’inquiétant.
L’état d’urgence sanitaire aura significativement participé au virage autocratique du gouvernement québécois. Il faudra beaucoup de vigilance citoyenne pour se remettre de cette crise pandémique.
Le développement à tous crins d’un secteur privé en santé nous inquiète de la même manière qu’il faut s’inquiéter de cette question en matière d’éducation, bien que, dans ce cas, nous soyons carrément devant un système à deux vitesses, qui oppose l’école privée à l’école publique.
Dans ce texte, des questions essentielles sont soulevées à propos du plan de « refondation » du système de santé annoncé en janvier 2022 par le gouvernement Legault.
La Coalition d’action et de surveillance sur l’incarcération des femmes au Québec (CASIFQ) dénonce l’inertie des autorités quant aux conditions de détention inhumaines et aux violations des droits des femmes incarcérées à l’Établissement de détention Leclerc de Laval.
Le gouvernement a le devoir de s’assurer que les droits et libertés de l’ensemble de la population sont respectés et pris en compte au moment de prendre des décisions.
Si les droits humains représentent un cadre qui facilite les délibérations, le débat est essentiel à la défense et au respect des droits humains.
Les changements climatiques et les inégalités sociales touchent particulièrement, et depuis des décennies, les femmes et les populations marginalisées. Les vraies solutions doivent tenir compte des enjeux de genre.
La Ligue des droits et libertés joint sa voix à celles des organisations environnementales pour dénoncer d’emblée toute décision qui aurait pour effet d’indemniser d’hypothétiques profits polluants qui, de toute évidence, ne se seraient jamais concrétisés.
Les contradictions qui s’accumulent dans les décisions de votre gouvernement font mal aux droits humains et, par le fait même, à la démocratie.
L’instauration d’un passeport vaccinal, sous sa forme actuelle, représente une mesure qui porte atteinte à droits fondamentaux de manière injustifiée.
Le Québec a commencé à déconfiner sa population depuis quelques semaines. La vaccination progresse, les restaurants rouvrent et les rassemblements redeviennent graduellement autorisés. Pourtant, le gouvernement québécois refuse toujours de mettre fin à l’état d’urgence!
Une mesure qui entraîne peu de bénéfices, mais au contraire de nombreux impacts néfastes sur les droits et libertés, dont le droit à la santé, le droit à la sécurité et le droit à l’égalité.
Le gouvernement Legault doit cesser d’écraser les organismes communautaires d’une lourde bureaucratie, en exigeant plus de paperasse, de performance et de rapports statistiques.
Les avis de la Santé publique devraient être accessibles. La mise en œuvre des politiques publiques doit être encadrée par le cadre de référence des droits humains, encore plus nécessaire en temps de crise.
Le gouvernement canadien doit interdire l’utilisation de la reconnaissance faciale par les forces policières et les agences de renseignement fédérales
En ce temps de pandémie, les mesures d’enseignement à distance compromettent le droit à l’éducation.
Le caractère exceptionnel de la pandémie n’est pas une raison d’agir de façon précipitée dans les négociations syndicales avec le secteur de la santé.
Le caractère exceptionnel de la crise sanitaire ne doit pas pour autant nous faire perdre de vue l’importance cruciale des droits de la personne.
Tous les jours, ces gouvernements prennent des décisions qui font en sorte que des milliers de personnes voient leurs droits bafoués au quotidien.
Il y a 70 ans, soit le 10 décembre 1948, la Déclaration universelle des droits de l’homme…
Montréal, le 13 juin 2016 Monsieur Robert Proulx Recteur Université du Québec à Montréal…
Le 21 avril, à la veille des audiences à la Cour suprême dans le dossier d’outrage au…
Lucie Lemonde – Ligue des droits et libertés, appuyée par 50 groupes sociaux* La Cour suprême…
En réponse à l’article signé par le président de l’Association québécoise des lobbyistes, Mathieu Santerre Lucie Lamarche,…
Mal protéger pour mieux contrôler la parole publique : La Ligue des droits et libertés s’oppose au…
Madame la Ministre, Au cours des derniers mois, plus de 40 organisations de la société civile québécoise…
Ces projets auront des conséquences importantes et dans certains cas irréversibles sur les écosystèmes, les communautés et les droits humains. Pourtant, le Québec et le Canada s’y avancent en faisant fi de leurs engagements en matière de droits humains et des bonnes pratiques internationales en matière de consultation et de participation du public.
Frais d’avocats de la famille d’Anas Bennis dans le cadre de l’enquête publique présidée par Me Catherine…