Celles et ceux qui font le choix stratégique d’utiliser la désobéissance civile le font après en être arrivés au constat que les moyens d’action traditionnels – manifestations, pétitions, campagnes de sensibilisation et autres – ne suffisent plus pour faire avancer les choses.
Pour la Ligue des droits et libertés, appréhender la lutte contre les changements climatiques sous l’angle des droits humains, c’est placer l’humain, détenteur de droits, au centre des actions requises. Aujourd’hui, pour l’avenir.
Communiqué de presse Pour diffusion immédiate Montréal, le 17 décembre 2019 – La Ligue des droits et…
Retour à la table des matières Jacinthe Poisson, juriste et agente de recherche pour la Commission d’enquête…
Les deux publications de la LDL-section de Québec démontrent comment les institutions et certains mouvements peuvent contribuer à stigmatiser les communautés minoritaires, accentuer leur discrimination et, ultimement, contribuer au racisme.
Articuler les luttes féministes et l’abolition du système pénal, tel est le projet intellectuel et politique qu’entreprend la sociologue Gwenola Ricordeau dans son récent ouvrage : Pour elles toutes. Femmes contre la prison.
Retour à la table des matières Alessandra Devulsky, PhD, chargée de cours Département de sciences juridiques, UQAM…
L’Argentine est confrontée à une nouvelle crise économique. Dans les dernières décennies, le pays a traversé au moins six crises profondes. Comme lors des précédentes, les conséquences sur les conditions de vie de la majorité de la population et la satisfaction des droits humains sont très négatives.
Retour à la table des matières Ricardo Peñafiel, PhD, professeur de science politique, UQAM Codirecteur, Groupe de…
Au-delà de l’accès en ligne aux services de l’administration publique, quelles sont les intentions du gouvernement avec la transformation numérique?
Une dizaine d’auteurs et d’autrices ont contribué à la réflexion du dossier principal en abordant les questions de résistance, privatisation, marginalisation, élargissement, pour nous aider à (re)prendre possession de ces espaces tant dans la rue que dans nos têtes.
Dans le cadre du débat public sur le livre vert sur la police, la ministre de la Sécurité publique doit s’assurer que la société civile soit entendue, au même titre que le milieu policier.
La LDL vous invite à une soirée de discussion où nous tenterons de mieux comprendre ces phénomènes et leurs répercussions sur les droits et les libertés des individus.
L’abrogation de P-6 mettra fin à cinquante ans de répression de la liberté d’expression et du droit de manifester à Montréal.
Pour combattre le racisme systémique, il faut aller plus loin que les approches fondées sur l’intégration des immigrants ou la lutte contre les discriminations. Il faut se questionner sur ce qui contribue à produire et à reproduire des inégalités systémiques.
Dans cette capsule vidéo, Eve-Marie Lacasse, coordonnatrice de la LDL, explique en quoi la Ville de Montréal a les moyens d’agir pour atténuer les effets du racisme systémique sur les conditions de vie et les droits des personnes racisées.
Communiqué Pour diffusion immédiate #racismesystemique Montréal, le 1er novembre 2019 – La Ligue des droits et libertés (LDL)…
Montréal peut jouer un rôle de chef de file dans la lutte pour contrer le racisme systémique. Comme métropole, elle dispose de plusieurs pouvoirs qui lui permettraient d’agir concrètement dans différents domaines.
Communiqué de presse Pour diffusion immédiate #bilanBEI Montréal, le 29 octobre 2019 – Devant la décision du…
This educational tool makes it possible to understand the foundations and aims of secularism as a way of governing the relationship between religions and the state.
Avis aux médias Pour diffusion immédiate Séance de la Commission de sécurité publique La Ligue des droits…
Communiqué de presse Pour diffusion immédiate Montréal, le 7 octobre 2019 – La Ligue des droits et…
Communiqué Pour diffusion immédiate Montréal, le 3 octobre 2019 – La Coalition contre la répression et les…
Comme la direction du BEI, nous sommes d’avis que des modifications doivent être apportées au dispositif législatif et réglementaire régissant le BEI. Cependant, nos constats diffèrent largement. C’est pourquoi nous demandons la tenue d’une commission parlementaire avec audiences particulières.
Cette entrevue avec Kahsennoktha Naomi George met en lumière les objectifs et réalités diverses émanant du programme Niokominanak (Nos Aînées). Ce programme a pour but de regrouper des femmes autochtones aînées et des jeunes femmes autochtones afin de favoriser une transmission intergénérationnelle de l’identité, de la culture et de l’histoire, tout en revalorisant le rôle des femmes aînées.
Avec l’adoption de la loi 492 en 2016, les droits des locataires aîné-e-s ont été renforcés. Cette loi protège les aîné-e-s des évictions abusives, mais cela n’empêche pas les locateurs de les discriminer ou les harceler afin de reprendre leur logement. Pour les auteurs, la connaissance de cette loi passe par sa démocratisation auprès des personnes aînées.
Suite à la publication du rapport de la Commission Viens, le Québec doit faire ses devoirs, notamment en enchâssant la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones dans les lois québécoises.
Les auteures proposent d’analyser la maltraitance dans un contexte organisationnel et social. Ceci, afin de mettre en surbrillance les pistes de solutions qui permettraient de répondre à cet enjeu mondial qu’est la maltraitance des personnes aînées.
En cernant l’évolution de la situation économique des femmes et des hommes âgé-e-s de 50 à 64 ans, entre 1976 et 2018, l’auteure présente des données statistiques qui témoignent des écarts entre les revenus des femmes et des hommes. Le tout, sur un fond d’espoir.
C’est pour bien cerner les inégalités sociales auxquelles les aîné-e-s LGBT sont confrontées et trouver des solutions pour les enrayer que les auteures de ce texte proposent l’approche queer. En critiquant les normes hétéronormatives, hétérosexistes et âgistes, elles y démontrent comment et pourquoi les personnes aînées LGBT sont plus à risque de vivre des situations d’isolement social que les personnes aînées hétérosexuelles.
Qu’est-ce que signifie réellement être à la retraite ? L’auteure, qui est tout sauf retirée de la cité, se penche sur les multiples sens, conséquences et questions que suscite l’imposition d’une définition passive du mot retraite.
Plusieurs études démontrent que les personnes âgées, notamment au Canada, se font prescrire beaucoup trop de médicaments. Le fléau du surdiagnostic et du surtraitement s’accompagne d’une surmédicamentation qui affecte directement les aînés. Comme le démontre l’auteur, plusieurs solutions existent pour s’affranchir de cette dépendance aux médicaments.
L’auteur et gérontologue social propose une lecture sociohistorique des droits pour les personnes aînées en s’appuyant sur le parcours de l’Association québécoise de défense des droits des personnes retraitées et préretraitées.
En revendiquant des meilleures conditions de vie pour les personnes aînées, la présidente de l’Association québécoise de défense des droits des personnes retraitées et préretraitées présente dix droits fondamentaux des aînés qui sont à faire valoir.
Si certaines sociétés non occidentales cultivent le respect des aînés, l’Occident est depuis des millénaires dans une logique de rejet des personnes âgées. Le progrès social aurait dû être bénéfique pour elles, or c’est l’inverse qui s’est produit. La reconnaissance sociale de la vieillesse est un enjeu de société sur lequel les auteurs se penchent.
L’expérience de la solitude chez les femmes aînées est loin de correspondre aux stéréotypes dominant notre paysage visuel. En s’appuyant sur une étude à laquelle elle contribua, l’auteure s’attarde aux réalités complexes, multiples et diversifiées des femmes aînées.
En comprenant l’isolement social comme un enjeu de droits de la personne, les auteurs analysent différents facteurs qui contribuent à l’isolement social des personnes immigrantes âgées au Canada. Il s’agit entre autres de repenser le terme immigrant afin de mieux comprendre les problèmes de discrimination auxquels font face les personnes immigrantes âgées.
Le rapport déposé est le rapport du BEI sur le BEI. Une simple autoévaluation ne constitue pas un vrai bilan du processus des enquêtes indépendantes des 3 dernières années. La LDL demande la tenue d’une commission parlementaire qui permettrait d’apporter des éclairages différents, et surtout externes, sur les enquêtes menées lors d’interventions policières qui causent des décès et des blessures graves.
Les principaux partis fédéraux représentés à Ottawa doivent s’engager à ce que le Canada signe le Protocole facultatif se rapportant à la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains et dégradants. La signature de ce Protocole permettrait à une mission d’observation indépendante d’avoir accès à l’Établissement de détention Leclerc de Laval, où les conditions de détention continuent de se détériorer.
La Ligue des droits et libertés vous invite à écrire à la ministre Guilbault afin d’exiger qu’elle s’engage à rendre public ce rapport et à ce qu’il fasse l’objet d’une commission parlementaire avec audiences, où la population pourra se faire entendre.
Le bilan du Bureau d’enquêtes indépendantes (BEI) doit se faire de façon transparente. La LDL et d’autres organisations exigent que le rapport déposé par le BEI au ministre de la Sécurité publique fasse l’objet d’une commission parlementaire, avec audiences.
Avec l’importante mobilisation sur l’urgence climatique partout au Québec et dans le monde, la LDL rappelle au gouvernement du Québec, aux autorités municipales et aux forces policières qu’ils ont l’obligation de garantir le droit de manifester des Québécois-e-s dans le cadre de la Journée mondiale de mobilisation pour le climat le 27 septembre. En effet, le droit de manifester fait partie de la liberté d’expression et est garanti par les chartes.
L’école n’échappe pas à l’emprise des géants de l’Internet comme Google ; des données précieuses sur une population captive sont récoltées dans le cadre des travaux scolaires.
Ce fascicule de la LDL explicite le principe de laïcité tout en expliquant comment ce dernier est porteur de liberté et d’égalité. Apprenez les tenants et les aboutissants de l’État laïque en quelques minutes.
Le 24 juin, le Rapporteur spécial des Nations Unies sur le droit à la santé, M. Dainius…
Ce compte rendu de l’œuvre Droit au froid, de l’auteure Sheila Watt-Cloutier, nous plonge directement dans le cœur des effets des changements climatiques en terre inuk. Comme le souligne l’auteure de l’article, le bouleversement climatique de l’Arctique a une cause anthropologique et constitue une violation des droits d’un peuple qui subit de façon démesurée ses effets négatifs.
Dans ce texte synthétique, l’auteur fait état des nombreuses luttes de la LDL contre le racisme et la discrimination, de sa fondation en 1963 à ce jour. Devant la montée de l’intolérance et de l’extrême droite, cette longue tradition pour le droit à l’égalité doit se perpétuer. Les liens entre la laïcité et le racisme y sont développés et l’appel à l’approche systémique du racisme y est lancé!
Avec l’actuelle crise sociale et économique que connaît le Venezuela, il peut être tentant de remettre le blâme sur le gouvernement de Maduro. Or, les États-Unis, le Canada et le groupe de Lima ont grandement contribué à cette crise. En offrant une analyse politico-historique, Thomas Chiasson-LeBel démêle le tout.
La GRC pratique une surveillance préventive des réseaux sociaux. L’organisation s’éloignerait-elle de son travail policier de lutte à la criminalité?
Une analyse qui présente quelques initiatives technologiques en matière de surveillance, notamment auprès des enfants aux États-Unis, en lien avec les droits et libertés.
Pour le président de la Ligue des droits et libertés, le principe de majorité dans nos sociétés démocratiques ne rime pas toujours avec le respect des droits et libertés. Ainsi, l’interdépendance des droits s’avère un principe clé lorsqu’il est question de comprendre la complexité des luttes quotidiennes auxquelles font face les citoyen-ne-s. Et ce, tout en respectant les différences de sexe, de conviction religieuse, d’origine ou de classe sociale.
Le fascicule sur la laïcité est une lecture qui explique bien la laïcité de l’État La Ligue…
Un pas en avant vers la reconnaissance de ce type de profilage Le Réseau québécois des groupes…
LDL et Amnistie internationale Canada Francophone sont soulagés La Ligue des droits et libertés et Amnistie internationale…
Présentation du mémoire de la LDL sur le projet de loi 21.
Le projet de loi 21 sur la laïcité de l’État contrevient à la Charte québécoise des droits et libertés de la personne en discriminant certaines communautés en raison de leurs croyances religieuses. Le gouvernement tente de contourner les principes de justice et d’égalité inscrits dans la Charte en utilisant fallacieusement le concept de laïcité de l’État et ce, au nom d’une certaine conception de l’identité québécoise et de la volonté d’une soi-disant majorité. C’est pourtant contraire à une société de droits de violer les droits de certaines personnes pour le confort d’une majorité. De telles actions, sur fond de racisme systémique, ne peuvent être tolérées et c’est pourquoi la LDL demande le retrait de ce projet de loi.
Communiqué de presse Pour diffusion immédiate Le gouvernement s’apprête à priver certains de leurs droits pour le…
Vingt-huit mises en demeure envoyées à la direction de l’Établissement de détention Leclerc. Le gouvernement Legault doit…
Ce mémoire présenté au Comité permanent du sénat sur la sécurité nationale et la défense a pour but de souligner les lacunes du projet de loi C-59 tout en suggérant des mesures afin de mettre en place un mécanisme efficace de surveillance des activités de sécurité nationale. Les recommandations émises par la LDL visent à protéger plus particulièrement le droit à la vie privée ainsi que les droits démocratiques.
La Ligue des droits et libertés (LDL) dénonce la manière dont seront menées les consultations de la…
Nous venons d’envoyer une autre lettre à Madeleine Giauque, la directrice du Bureau des enquêtes indépendantes (BEI).…
Ceci n’est pas une réelle neutralité religieuse de l’État Montréal, le 28 mars 2019 – Après un…
Montréal, le 27 mars 2019 – Depuis plusieurs années, la Ligue des droits et libertés (LDL)…
Semaine d’actions contre le racisme–21 au 31 mars 2019 Montréal, le 20 mars 2019 – En ce…
Irrégularités dans une enquête du Bureau des enquêtes indépendantes Montréal, le 19 mars 2019 – Dans une…
La Ligue des droits et libertés, la laïcité et le gouvernement de la CAQ « Parlant des femmes,…
Journée internationale des femmes Montréal, le 7 mars 2019 – Ce matin, la Coalition d’action et de…
Une mort qui aurait pu être évitée si les policiers du SPVM étaient mieux formés Montréal, le…
À travers le Canada, les nombreux cas de femmes autochtones disparues et assassinées suscitent l’indignation. Au Québec, la situation de Val d’Or a bien démontré comment les forces policières cultivent des pratiques discriminatoires à l’égard des femmes autochtones.
COMMUNIQUÉ Pour diffusion immédiate Montréal, le 4 février 2019 – Ayant pris part à la séance d’information…
Procédure accélérée pour discuter du fond de l’affaire Saint-Jérôme, le 31 janvier 2019 – Dans son jugement,…
25 organisations réclament à la Ville de Montréal la tenue une consultation publique.
La Ligue des droits et libertés se rappelle Montréal, le 29 janvier 2019 – La Ligue des…
Discussion sur la liberté d’expression
La LDL s’est donné des lignes directrices en ce qui concerne la reconnaissance des droits des peuples autochtones au Canada.
Au fil des dernières années, nous avons été témoins à maintes reprises de pratiques policières abusives et injustifiées qui ont entrainé des conséquences graves et trop souvent même la mort. La police est souvent source de violation de droits : profilage discriminatoire, surveillance de citoyen-ne-s, brutalité policière, contrôle des manifestations, etc., tandis que la population et les groupes sociaux ont très peu de prise sur cette institution. C’est ce constat qui nous a incité-e-s à nous pencher sur la police dans le numéro Droits et libertés, La Police au Québec… intouchable?
COMMUNIQUÉ Pour diffusion immédiate Montréal, le 7 décembre 2018 – Le 10 décembre 1948, l’Assemblée générale des…
Les lettres envoyées par le BEI aux corps policiers dévoilent des manquements graves quant au mécanisme d’enquête prévu par la loi. Le BEI dépend des corps policiers impliqués dans les incidents et n’a pas de pouvoir de contrainte.
Consultez ce résumé du rapport de la mission d’observation du G7 qui a eu lieu au Québec en 2018.
Ce rapport de mission d’observation des libertés civiles recense les diverses formes de violations de droits et libertés qui ont été commises lors du Sommet du G7 à La Malbaie. Conjointement avec Amnistie internationale, la LDL recommande aux gouvernements du Canada et du Québec de respecter, protéger et garantir l’exercice du droit à la liberté d’expression et de réunion pacifique ainsi que du droit de manifester. Les forces policières doivent faciliter l’exercice de ces droits.
COMMUNIQUÉ Pour diffusion immédiate Québec Ottawa – 10 juin 2018. La Ligue des droits et libertés et…
Le respect de l’ensemble des droits passe par l’accès à un logement sécuritaire, abordable et de qualité. Cette interdépendance des droits doit être au cœur des politiques publiques en matière de développement du logement social.
Depuis les années 1970, plusieurs organisations militent activement pour le droit au logement au Québec. Ce retour sur l’histoire des luttes qui ont jalonné ce mouvement témoigne de l’importance d’un meilleur accès au logement et d’une meilleure protection sociale.
Les conditions de recours au droit du logement en Gaspésie et aux Îles-de-la-Madeleine varient considérablement d’une localité à l’autre. Cette étude aborde la précarité résidentielle vécue dans les immeubles à loyer multiples et dans les maisons unifamiliales.
Le Comité logement Rive-Sud fait état des inégalités flagrantes en matière d’accès au logement, d’accès à la justice et de protection juridique pour les locataires des municipalités rurales. C’est en travaillant de concert avec les municipalités et les locataires de la Montérégie que le Comité fait valoir le droit au logement.
L’accessibilité au logement pour les personnes en situation d’itinérance s’accompagne de multiples formes de restrictions et de profilage. Le milieu communautaire doit s’ouvrir à la réalité de ces personnes doublement marginalisées et les solutions existent.
En accroissant les inégalités en matière d’habitation, le processus d’urbanisation participe à la « bidonvilisation » du Sud global. Pour répondre à cette crise, plusieurs organismes et acteurs sociaux proposent des modèles de développement urbain durable.
La protection de l’environnement et le respect du droit au logement, en particulier pour les personnes marginalisées et défavorisées, doivent s’arrimer avec des projets environnementaux qui s’adressent à la population locale. De New-York à Montréal, la gentrification environnementale mine le droit au logement de ces populations.
L’accélération de la « condoïsation » de la Ville de Montréal se traduit par la gentrification de nombreux quartiers centraux et une fragilisation du droit au logement. La financiarisation contribue largement à cette fragmentation du marché locatif qui touche directement les locataires.
L’étude réalisée par les militantes du Centre d’éducation et d’action des femmes (CEAF) évoque une triste réalité, celle des violences sexuelles vécues par les femmes locataires et chambreuses. Pour mettre fin à cette situation, les militantes ont engagé plusieurs actions en ce sens.
Le Regroupement des organismes du Montréal ethnique pour le logement (ROMEL) fait état des difficultés d’accès au logement pour les nouveaux arrivant.e.s. Or, l’accès à un logement décent et abordable constitue un facteur important d’intégration sociale et professionnelle pour ces populations.
Depuis 2007, Parole d’excluEs et la SHAPEM interviennent ensemble dans une démarche territoriale qui allie mobilisation citoyenne et développement de logements abordables pour transformer des milieux de vie. Cette démarche contribue à une meilleure réalisation du droit au logement, dans une perspective individuelle et collective.
Pour sortir durablement les personnes du cercle de l’itinérance et de la pauvreté, le logement social s’impose. La Politique nationale de lutte à l’itinérance est un outil pour y parvenir, mais d’autres solutions sont à considérer.